C'est une habitude: une reprise à rythme élevé et sous la pluie, ça pique ! Mais pour certains coureurs, la gratouille, dimanche, ce n'était pas du figuré avec des boutons et des rougeurs sur les jambes, dans le cou et même sur le visage ! Ce qui est certain, c'est que les rougeurs de Marzan n'étaient pas provoquées par des coups de soleil.
Certains ont mis cela sur le compte des nouvelles tenues; d'autres ont évoqué le froid et l'humidité et même les chenilles processionnaires qui peuvent apparaitre dès février ! Sur les réseaux sociaux, ce sont aussi les produits chimiques qui étaient en ligne de mire, notamment ceux qui sont utilisés dans l'agriculture. Il s'en est d'ailleurs suivi un petit débat entre un coureur boutonneux et un agriculteur coureur. Bref, ça cause dans le Landerneau du vélo !
Quant à l'organisateur de Marzan, il se pose évidemment des questions: "je souhaiterais avoir des retours de coureurs présents dimanche à Marzan et qui ont été victimes de ces démangeaisons. Merci de partager un maximum." Nous relayons donc. Par contre, l'histoire ne dit pas quelle mouche a piqué Maxime Rio pour qu'il s'impose dès sa première course chez les espoirs ! Visiblement, ça le démangeait après quelques mois sans compétition.
GM
PS: vos remarques, si vous le souhaitez, à "GP Marzan section cyclisme" sur facebook.
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