Patrick Müller
«La chute de Pierre Rolland a chamboulé notre tactique mais on a su réagir. Grâce à l’équipe, on était bien placés dans les dernières bosses. Quentin Pacher a tenté un gros coup à 25 km de l’arrivée.
Ça m’a permis de rester avec les meilleurs. Au sprint, je me fais un peu enfermer mais me voilà rassuré. À Oman, je n’ai pas eu de super sensations. Ce fut dur mentalement. Après 2 jours de repos, j’ai senti que la forme revenait.
Aujourd'hui, il y a à nouveau 200 km et des côtes courtes et raides. On a reconnu la fin du parcours et j'ai visionné les vidéos des années passées pour m’imprégner de la course. J'ai gagné en confiance et ma saison est bien lancée.»
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