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      • Turquie : c'est Bos le patron !

      • Publié le 22/04/2012
          • Les Rabo aiment les premières étapes... Le Néerlandais Theo Bos (Rabobank) remporte la première étape du Tour de Turquie devantMatthew Goss. L'ancien triple champion du monde de la vitesse bat l'Australien dans les tout derniers mètres.
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          • PRESIDENTIAL TOUR DE TURQUIE (22-29 AVRIL)

            Etape 1, Alanya-Alanya
             
            Theo fait le beau, Goss bosse
            Theo Bos (Rabobank) a pris une éclatante revanche sur le sort en remportant la première étape du 48e Présidentiel Tour de Turquie, précisément à Alanya où il avait quitté la course il y a trois ans après avoir provoqué la chute dramatique du Sud-Africain Daryl Impey, vainqueur final malgré tout. 
            Le Néerlandais avait écopé d’un mois de suspension suite à cet incident dont il s’est réhabilité de la plus belle des manières en réglant le gratin du sprint mondial en Turquie. Il a devancé le vice-champion du monde australien Matt Goss (désormais coéquipier d’Impey chez GreenEdge) et les Italiens Daniele Colli (Team Type 1) et Alessandro Petacchi (Lampre-ISD).
            Courte (135km), rapide et dédiée aux sprinters, l’étape a été animée par trois hommes sortis dès le baisser du drapeau : Will Routley (SpiderTech), Adrian Hegevary (UHC) et Adrian Kurek (UNA), rejoints par cinq concurrents : Albert Timmer (Argos), Maxim Belkov (Katusha), Frédérique Robert (Lotto-Belisol), Javier Ramirez (Andalucia) et Gabor Kasa (Salcano). 
            Ils ont compté jusqu’à 8’25’’ d’avance après 38 kilomètres et ont été revus par le peloton à 22 bornes du but, suite à la chasse emmenée d’abord par les équipes Omega Pharma-Quick Step et Farnese Vini, relayée ensuite par Europcar. Deux chutes dans les deux derniers kilomètres ont écarté quelques favoris du jeu (dont Marcel Kittel), mais permis aux formations GreenEdge et Rabobank de démontrer leur dévotion à leurs sprinters respectifs, départagés par la photo-finish au pied de la splendide citadelle d’Alanya.Le 48e Présidentiel Tour de Turquie est parti sur des bases élevées.
             
            A noter que tous les coureurs de Bretagne-Schuller terminent dans le peloton, Romain Hardy est 27e.
             
            TROIS QUESTIONS A THEO BOS, VAINQUEUR DE LA PREMIERE ETAPE
            « Un pas en avant dans ma carrière de routier »
             
            Q : Qu’est-ce qui a fait la différence aujourd’hui ?
            R : Ce n’était pas une course difficile aujourd’hui, ce qui a rendu le final encore plus difficile qu’à l’ordinaire. Nous nous sommes concentrés sur le travail d’équipe et le train pour m’emmener. Tout a bien fonctionné dans le dernier tour mais nous espérions avoir plus d’hommes après le dernier virage. C’était moins aisé avec seulement deux coureurs, mais il s’agissait de Graeme Brown et Mark Renshaw. Ils ont fait un boulot extraordinaire. Un coureur de GreenEdge m’a passé et je n’ai pas pu prendre sa roue parce que Matt Goss y était. J’ai continué à sprinter en me disant que je pouvais peut-être finir 2e et j’ai lancé mon vélo pour gagner.
            Q : Alanya est la ville d’où est partie votre suspension il y a trois ans. Cela vous procure-t-il un sentiment de revanche ?
            R : Je ne savais pas que c’était l’endroit de la chute d’il y a trois ans. Je viens de l’apprendre. Pour moi, c’est juste une autre course cycliste. Depuis longtemps, cette affaire est classée. Notre équipe Rabobank s’est engagée au Tour de Turquie assez tardivement. Initialement, je devais aller au Tour de Romandie pour préparer le Giro mais mes qualités de grimpeur ne sont pas très élevées. Donc il valait mieux que je revienne en Turquie parce que c’est une course importante pour travailler l’exercice du sprint. Chez Rabobank, il n’y avait pas une grande culture du sprint par le passé mais nous sommes en train de changer cela.
            Q : Qui est le leader pour les sprints, vous ou Mark Renshaw ?
            R : Je ne suis pas encore un coureur assez complet. J’ai fait un pas en avant dans ma carrière de routier en gagnant ici face à tant de sprinters d’un si haut niveau. Mais je dois encore m’améliorer. Aujourd’hui, nous avions décidé que je serais le sprinter de l’équipe parce que le relief et la distance me convenaient. Etre emmené par deux anciens recordmen du monde de poursuite par équipes, ça aide ! J’apprenais déjà de Graeme, j’apprends encore plus de Mark depuis qu’il a rejoint notre équipe cette année. Collectivement, nous avons énormément progressé et notre prochain objectif sera de placer Mark en bonne position pour gagner une étape.
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