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      • Tour de Turquie#7 : Viviani est prêt pour le Giro

      • Publié le 03/05/2014
          • Le Britannique Adam Yates a conservé sans difficulté son maillot turquoise de leader du Presidential Tour de Turquie à la veille de l’arrivée en apothéose à Istanbul, tandis qu’à Izmir, son compatriote Mark Cavendish s’est incliné une deuxième fois au sprint face à l’Italien Elia Viviani qui apparaît fin prêt pour le Giro.
          • Tour de Turquie#7    : Viviani est prêt pour le Giro
          • Tour de Turquie#7    : Viviani est prêt pour le Giro
          • Tour de Turquie#7    : Viviani est prêt pour le Giro
          • Dès le début de course, trois hommes ont pris les devants : Wesley Sulzberger (DPC), Piotr Gawronski (CCC) et Wesley Kreder (WGG). Dès lors qu’ils franchirent en tête l’unique côte répertoriée de la journée au 61e kilomètre, Marc de Maar (UHC) était assuré de remporter le classement de la montagne du Presidential Tour de Turquie du cinquantenaire.

            Dans le groupe des fuyards, Kreder, vainqueur du sprint des beautés turques sur le site d’Ephèse, ne représentait pas non plus la moindre menace pour l’autre leader d’un classement distinctif, l’Italien Mattia Pozzo, qui aura éclairé ce TUR par ses commentaires flatteurs pour l’organisation de l’épreuve.

            Avec un avantage maximum de 2’55’’, le trio de tête, pourchassé par les équipes de sprinters parmi lesquelles Cameron Wurf, le coéquipier d’Elia Viviani chez Cannondale, s’est encore illustré en même temps qu’il effectuait en tête de peloton son travail spécifique de préparation au contre-la-montre du Tour de Californie, n’avait aucune chance de se disputer la victoire en bordure de la Mer Egée. Il a été repris au 125e kilomètre, laissant la place à une marche furieuse pour le positionnement des sprinters au demi-tour à l’approche du dernier kilomètre.

            Une chute aux 300 mètres impliquant Danilo Napolitano (WGG) s’est produite au moment où Viviani prit intelligemment le sillage de Cavendish dont le train, privé de son dernier wagon, Mark Renshaw, non-partant au matin de la sixième étape, a déraillé alors qu’il menait les opérations. 

            L’Italien ne s’est pas privé de démontrer que la première victoire de sa carrière face à Cavendish à Turgutreis n’était pas due au hasard, mais il est clair que le champion de Grande-Bretagne, qui ne goûte guère la défaite, sera avide de revanche sur les rives du Bosphore où son jeune compatriote Adam Yates est attendu dimanche pour son premier titre de gloire.

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