Dans le triptyque qui est proposé au peloton, ce premier acte n'est pas nécessairement le plus relevé, ni en termes d'altitude, ni en difficulté absolue. Mais les trois ascensions à affronter dans les 40 derniers kilomètres donneront nécessairement la parole aux grimpeurs.
Peut-être à ceux qui auront eu l'inspiration de prendre l'échappée, et la force de résister au peloton. Certainement en tout cas aux plus explosifs d'entre eux, qui pourraient exploiter la montée au col de Grosse Pierre.
Le lieu a déjà été visité par le Tour, mais jamais en y accédant par cette rampe totalement indigeste, qui prend comme le souligne Thierry Gouvenou des airs de « Mur de Huy » à certains passages.
Pour finir, avant de goûter au calme de la Perle des Vosges, l'explication se jouera sur la montée de la Mauselaine : les puncheurs s'y sentiront encore à l'aise.
Source: le tour.fr
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