Perrig, vous avez tenté la fugue mais en vain
"Je me suis retrouvé devant avec Armindo Fonseca, Stef Clément (IAM) et Jan Barta (Bora). J’étais dans mon rôle d’équipier et d’éclaireur. Nous avons essayé de tenir face au peloton, mais avec le vent et le coup de bordure, notre tentative a vite été réduite à néant."
Que vous a-t-il manqué ?
"Si nous avions pu tenir encore 20 ou 30 km, cela aurait été mieux pour nous quatre. Derrière, c’était le chantier avec des conditions atmosphériques qui ont tenu leurs promesses. Ça a été une étape de guerriers, c’était très impressionnant mais c’est le Tour de France."
Vous êtes abonné aux échappées de début de Tour?
"Sur ce début de Tour, je recherche encore une bonne condition physique, je suis là pour prendre du plaisir. C’est la troisième fois que je me retrouve en échappée sur la première étape du Tour. Aujourd’hui, j’ai été un coup devant et quand nous avons été repris, c’était un coup derrière avec mes équipiers pour ramener Pierre Rolland sur la tête de course."
On va vous revoir ?
"Bien entendu ! Je retenterai ma chance et pourquoi pas sur les routes bretonnes."
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