Dan McLay (8e de l'étape) : " Je suis très en colère ! J'avais des jambes super et j'adore ce type de sprint sur une pente, au bout d'un gros effort athlétique. Je me suis battu comme un chien pour me placer et je me sentais capable d'une très beau résultat. Mais aux 300 mètres, je dois donner un premier coup de frein derrière une vague, puis un deuxième, et un troisième. Je ne prétends pas que j'aurais pu jouer la gagne mais une belle place, oui. Si je ne donne pas ces trois coups de frein... C'est rageant, la journée était vraiment difficile avec le col de la République d'entrée, je me suis accroché. Et j'étais là dans le final, avec de belles sensations. Je me fiche de savoir que c'est mon premier Top 10 dans une épreuve World Tour. Il y avait beaucoup mieux à faire !"
Anthony Delaplace (44e de l'étape) : " J'y ai cru pour Dan, je le trouvais saignant et super motivé dans les derniers kilomètres. J'étais un peu derrière lui dans le sprint, j'ai vu le premier gros coup de patin qu'il a dû donner... C'est dommage, mais il retrouvera d'autres occasions comme celle-là."
Eduardo Sepulveda (21e au classement général à 1'35") : " C'était très nerveux toute la journée, on est parti vite dans le col de la République, on était tous à bloc, ça pétait de partout ! Et l'échappée a mis une grosse pression sur les équipes de sprinters. Arnaud Gérard m'a donné un sacré coup de main en me replaçant dans le final, merci à lui."
Pierrick Fédrigo (42e au classement général, à 5'09") : " Je voulais sortir dans la République, j'aime bien ce genre de difficulté monté à froid. Je me suis retrouvé dans des groupes devant à trois reprises au fil de l'ascension, j'avais de bonnes jambes mais je n'ai pas pu y aller quand l'échappée du jour est sortie après le sommet. Je ne suis pas si mal, dommage..."
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