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Newsletter PMU : Un maillot vert en lumière au sommet du Tourmalet..
- Publié le 18/07/2012
- C’est vrai, il n’y a pas eu beaucoup de suspense pour le Maillot Vert PMU cette année, Peter Sagan le portant sans discontinuer depuis la première étape. Le Slovaque compense en mettant beaucoup d’application à le montrer chaque jour, même en montagne.
EDITO - Un maillot vert en lumière au sommet du Tourmalet... 
C’est vrai, il n’y a pas eu beaucoup de suspense pour le Maillot Vert PMU cette année, Peter Sagan le portant sans discontinuer depuis la première étape. Le Slovaque compense en mettant beaucoup d’application à le montrer chaque jour, même en montagne.
Dans cette première grosse étape pyrénéenne, il a été le dernier sprinteur du Tour à craquer, permettant au maillot vert de franchir le Tourmalet dans le peloton des favoris de la course. Ce n’est pas commun.
Un autre maillot vert, de la marque Europcar, a ébloui cette seizième étape. Thomas Voeckler, dans un cavalier seul rappelant celui de Raymond Martin en 1980 sur le même parcours (les plus jeunes ne s’en souviennent probablement pas), s’est imposé pour la deuxième fois dans le Tour de France 2012. Il égale la performance de Sylvain Chavanel qui avait réussi semblable prouesse en 2010.Photo AFPCONCOURS DE PRONOSTICS - choix judicieux, mise insuffisante...
>> Inscrivez-vous et pariez sur le vainqueur de la 17e étape...Christophe Osmont et Aude Boilley sont les deux grands gagnants du jour, ayant compris qu'en allant chercher le maillot à pois, Thomas Voeckler remporterait la grande étape pyrénéenne (à moins que ce ne soit l'inverse !) Avec une cote de 30, l'occasion était belle de marquer 750 points d'un coup, mais votre consoeur, qui remporte le coffret cadeau du jour, n'a misé "que" 5 points : elle remonte à la 5e place. Bravo !
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Le classement du Maillot Vert
Thomas Voeckler : « Je suis dans une autre dimension ! » 
L'interview du vainqueur - "Aujourd’hui j’ai pris l’étape col par col, j’ai disputé quatre courses. J’étas super bien dès le début, et je me suis retrouvé dans l’échappée de 38 coureurs avec Yukiya Arashiro qui était déjà près de moi quand j’ai gagné à Bellegarde. Je cours dans ces montagnes depuis que j’ai 19 ans et j’en connais chaque parcelle par cœur mais j’ai du mal à réaliser. J’ai passé 4 cols devant, comme je voyais à la télé quand j’étais enfant."
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Avant de monter dans le bus… Peter Sagan (Liquigas-Cannondale, porteur du maillot vert) -
« C’est une journée très difficile qui est derrière moi, une journée de passé en vue de Paris. Je me suis accroché dans le peloton parce que ça me rassurait d’être là, parce que j’en étais capable et que le problème des délais disparaissait au fil des kilomètres. Toute l’équipe a travaillé pour Vincenzo Nibali et il a attaqué pour assurer le podium. J’espère passer l’étape de demain. Si je la passe, évidemment, je serais satisfait et je pourrais savourer la remontée vers Paris avec le maillot vert sur le dos. »
L'expertise de Jean-François Bernard - « Demain, ce sera plus compliqué » - Peter Sagan n’a pas vraiment d’inquiétude à avoir ! Aujourd’hui encore il a été impérial jusqu’au col d’Aspin où il a été décroché. De temps en temps, il se retournait pour voir qui était lâché, en se disant "d’habitude celui là, il me lâche…" Pour passer la montagne, il a décidé de rester au contact du peloton le plus loin possible, peloton qui aujourd’hui n’a pas roulé très vite, sinon dans les cinq derniers kilomètres de Peyresourde. >> Lire la suite...
Présentation de la 17e étape - Sauve qui peut pour les sprinteurs - Ils sont encore 153 coureurs dans le peloton du Tour de France et tous savent qu’il leur reste une journée très difficile à passer, jeudi entre Bagnères de Luchon et Peyragudes, un sommet inédit de la Grande Boucle. En 143,5 kilomètres, il va falloir franchir cinq cols de difficulté irrégulière. Tout d’abord le col de Menté (première catégorie) où le souvenir de Luis Ocana, sombrant dans le cauchemar en 1971, est toujours vivace. Puis le col des Ares (deuxième catégorie), la côte de Burs (troisième catégorie), le Port de balès (Hors Catégorie) et la montée finale vers Peyragudes. Une ascension qui est d’abord celle de Peyresourde, dans le sens inverse de l’étape du jour, puis après une course descente de deux kilomètres, un dernier effort pour atteindre la station qui accueillera en mars prochain le centième championnat de France de ski alpin. >> Lire la suite...
Le Maillot Vert dans le Rétro... Laurent Jalabert :
« En 1995, c’était un bonus. Par rapport à 1992, dit LaurentJalabert, ç’a été très différent. J’ai eu des adversaires la première semaine et après, il y a eu quelques belles échappées qui m’ont permis de prendre de l’avance. Je grimpais beaucoup mieux. Sur l’étape de Mende (remporté après une longue fugue), à huit jours de Paris, j’ai vraiment creusé le trou. J’étais à l’abri pour le maillot vert. Si en 1992, c’était un objectif, en 1995 ça s’est présenté presque naturellement. Il y a eu de la rivalité mais pas longtemps. Je n’ai jamais considéré le maillot vert comme un classement annexe, au contraire, il fait totalement partie de l’histoire du Tour de France. Je n’ai jamais été le meilleur sprinteur du Tour mais j’ai gagné le maillot vert sur mon terrain, comme j’ai été ensuite meilleur grimpeur (2001 et 2002) à ma façon, en partant de loin sur les grandes étapes de montagne. >> Lire la suite...
Le Tour 2.0 - Les Tweets du jour 
Pendant trois semaines, pour tuer le temps lors des longs transferts sur le Tour, les coureurs tweetent, pour faire partager à leurs fans leurs joies, leurs peines et leurs angoisses. Nous suivons ici les sprinteurs en course pour le maillot vert PMU.
Thomas Voeckler remporte sa deuxième étape de cette édition dans l’étape « reine » avec les quatre grands classiques des Pyrénées : Aubisque, Tourmalet, Aspin et Peyresourde. Cadel Evans, en revanche, perd le Tour. Victime d’ennuis gastriques, il perd pied dans les deux derniers cols et se trouve relégué à 8’06’’ de Bradley Wiggins, de plus en plus proche d’un premier sacre.
Explosé
@DanMartin86 Je me suis bien amusé. TV juste trop fort pour moi dans le Tourmalet. J’ai explosé en morceaux en tentant de le suivre #aucunregret.
Régional
@LadagnousMatth Toujours aussi dur ces beaux cols pyrénéens. La chaleur a rendu cette étape encore plus difficile. Un petit plaisir dans l'échappée néanmoins.
Fataliste
Cadel Evans @CadelOfficial Mauvaise journée pour moi. Il n’en faut pas beaucoup pour se retrouver hors du coup. « Des ennuis intestinaux ». Au moins ce n’était pas pendant la course ! #tdf
Voyeur malgré lui
@mattgoss1986 L’image du jour, celle d’un couple « faisant l’amour » pour dire ça gentiment sur le bord de la route au vu de tous. #sanshonte #onvoitpasçatouslesjours
Expert
Jonathan Vaughters (ancien manager de Bradley Wiggins chez Garmin)
@Vaughters Je regarde la course à la télévision et je dois dire que Wiggo m’a l’air de contrôler les choses bien mieux que tous les autres.
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Matthieu Desplats
Responsable Communication Presse
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