Eduardo Sepulveda est en forme et arrive en Bretagne en confiance: "Je me sens bien, on a fait une belle course sur la flèche Brabançonne. Il nous a manqué un peu de réussite. Le Tour du Finistère est une épreuve difficile, j’espère peser sur la course. Notre formation fait vraiment de belles choses en ce moment. J’étais avec l’équipe sur Denain, j’ai regardé le sprint de Boris Vallée, il ne manquait pas grand chose. La confiance est de notre côté il faut en profiter. " Même si Sepulveda vise plus haut, on sait bien qu'un bouquet breton le mettrait en confiance avant d'autres échéances.
Pour Yvon Caer, directeur sportif, ce Tour du Finistère sera aussi un moment particulier. Cette course, il la connait par coeur et en mesure les pièges: "Le profil du tour du Finistère est accidenté. Il n’y a pas beaucoup de plat et le circuit final est encore plus difficile que les années passées. Je ne vois pas un sprint massif. Par contre, on peut assister à un sprint en petit comité avec des coureurs comme Romain Hardy, Laurent Pichon ou Armindo Fonseca." Mais le Finistérien sait aussi qu'il disposera d'autres armes, avant le sprint de Penvillers, sur les hauteurs de Quimper: "Si la bagarre commence tôt, nous avons les armes pour répondre avec Arnold Jeannesson, Elie Gesbert, Eduardo Sepulveda mais aussi Franck Bonnamour s’il a bien récupéré de ses efforts sur Paris-Roubaix. Maxime Daniel manque encore un peu de rythme mais on peut compter sur lui pour aider les copains."
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