
Florian, c’était une belle épreuve avec une superbe opposition ! Il y avait pourtant d’excellents sprinteurs internationaux au départ de ce Paris-Bourges 2012.
«Oui, c’est vrai ! La course était tout de même dessinée pour un sprint massif et il y avait peu de chances que l’on tienne ce scénario. Mais ce sont les coureurs qui font la course !»
Racontez-nous justement cette fin de course...
«Il y a eu de la guerre dans les parties difficiles de ce Paris-Bourges. Nous avons réussi à sortir à une trentaine à moins de soixante-dix kilomètres de l’arrivée et Bretagne-Schuller était très bien représentée avec cinq coureurs. Cela nous a permis de pouvoir faire la course dans le final et de la durcir. Nous avons pu désorganiser les équipiers des sprinteurs et aller chercher cette victoire. C’est avant-tout une victoire collective et cela lui procure d’ailleurs d’avantage de saveur.»
Cliquez ici pour lire la suite de l'interview sur le nouveau site de l'équipe Bretagne-Schuller.
Mentions légales | Designed by diateam | Powered by diasite