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      • Coupe de France PMU : Dumoulin en veut encore !

      • Publié le 31/01/2014
          • Double vainqueur sortant de la Coupe de France-PMU, le Lyonnais de l’équipe AG2R-La Mondiale (33 ans) voit dans la possibilité d’une passe de trois l’occasion de marquer l’histoire du cyclisme tricolore. Un défi qui passe par un bon résultat dès dimanche sur le Grand Prix « La Marseillaise » qui lance l’édition 2014.
          • Coupe de France PMU : Dumoulin en veut encore !
          • Notre photo : Samuel Dumoulin à Plumelec (Bruno Bade - PMU Sport média)

             

            La Coupe de France-PMU a marqué vos deux dernières saisons. Au moment d’aborder l’exercice 2014, dimanche lors du Grand Prix « La Marseillaise », est-ce de nouveau un objectif ?
             
            C’est quand même sympa comme challenge. L’an dernier, j’arrivais dans l’équipe, je ne savais pas encore comment allait se passer mon intégration. Le contexte a changé mais la Coupe de France-PMU va rester le fil rouge de ma saison. L’idée, c’est d’abord de gagner dimanche, de mettre l’année dans le bon sens.
             

            Avec l’expérience que vous possédez, pouvez-vous définir une stratégie sur la Coupe de France qui ouvre et boucle le calendrier français, de février à octobre ?
             
            Pour espérer l’emporter, il faut parvenir à cumuler aux alentours de 150 points, ce qui correspond à trois victoires ou quatre podiums. Ca veut dire qu’il ne faut pas manquer l’opportunité de marquer des points comme je l’ai fait à La Marseillaise ces deux dernières années. Je sais par exemple que celle-là me convient mieux que d’autres comme le Tro Bro Leon ou le Grand Prix de Denain.
             

            Vainqueur en 2012, deuxième en 2013, comment expliquez-vous que le Grand Prix La Marseillaise vous réussisse aussi bien ?
             
            J’arrive souvent en bonne forme sur le début de saison et avec l’expérience, je mets peut-être moins de temps que d’autres à trouver mes repères dans le peloton. Sur cette course, il y a un bon écrémage et une arrivée en petit comité. Et à ce jeu, je possède encore une belle pointe de vitesse. La grande difficulté, c’est le Petit-Galibier mais ces deux dernières années, je suis revenu au prix d’une belle descente. Sur le final, le col de la Gineste me convient plutôt bien, du coup, j’arrive à conserver pas mal de cartouches pour le sprint final.
             
            Vous abordez votre treizième saison chez les professionnels, comment s’est déroulé votre hiver ?
             
            J’ai coupé un peu plus longtemps cette année car j’avais besoin de me défaire du stress accumulé et d’une saison où j’ai été sur la brèche du début à la fin. Je reconnais que ça été un peu difficile cet hiver de m’imposer des charges de travail toujours plus importantes. Avec l’âge (33 ans) et le niveau général qui ne cesse de progresser, il faut en faire toujours plus.
             
            Qu’est-ce qui vous motive à toujours travailler davantage ?
             
            Contrairement à un jeune coureur, j’ai moins besoin de rechercher la motivation dans les courses. Par contre, je sais à quel niveau physique je dois me situer pour espérer être performant. Ce n’est pas mon envie de briller sur tel ou tel rendez-vous qui va m’imposer des charges de travail. C’est plutôt ce travail qui me permet de fixer mon niveau d’exigence sur les courses. Mais même s’il y a eu des moments difficiles, je suis toujours resté aussi impliqué, professionnel.
             
            Un an après votre retour au sein de l’équipe Ag2R-La Mondiale, quelle place occupez-vous dans ce collectif ?
             
            Je suis sans doute plus serein, je me pose moins de questions. En 2013, je m’étais mis une certaine pression, il fallait que je sois à la hauteur. Je crois que j’ai prouvé qu’on pouvait compter sur moi, je connais les méthodes de travail, un groupe qui vit bien et j’ai la confiance du staff. Je suis en fin de contrat mais je me verrais bien faire encore deux ans et la logique voudrait que ce soit sous les couleurs d’Ag2R-La Mondiale. »
             
            En 2014, quels seront les grands axes de votre saison ?
             
            On me demande de répondre présent sur la Coupe de France, c’est important pour entretenir une dynamique dans l’équipe. Et franchement, la remporter une troisième fois d’affilée, ça me ferait une petite place dans l’histoire du vélo. Après, l’an dernier, j’ai souvent recherché la régularité alors que cette année, j’aimerais plutôt réussir de bons coups. J’ambitionne toujours de gagner une étape sur Paris-Nice car ça manque à mon palmarès, il y a le championnat de France, le Tour aussi bien sûr si je suis sélectionné. Ce sont des objectifs assez classiques mais pas forcément faciles à réaliser.
             
             
             

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