Relief vallonné pour cette journée sur des routes globalement correctes mais à 40 km de l’arrivée, il n’y avait plus de route…adaptation, improvisation. La traversée de la Lettonie laisse une impression étrange : comme un pays sans vie, figé, très peu de monde et les quelques personnes qu’il a croisées avaient le visage morose ; peu de voitures et de camions mais qui osent rouler à 90 km/h sur des routes (galets, sable) …. Que de poussière !
Dans les champs autour de la route, des centaines de cigognes, des élans, pas de culture, des prés, des bois, de temps en temps un potager et 1 ou 2 vaches attachée à un poteau, et toujours de vieilles bâtisses en ruine. L’euro est accepté, à l'inverse de la Pologne et de la Lituanie.
Ce soir, Fanch a trouvé ce qui pourrait ressembler à un hôtel : ½ heure pour remplir les papiers, la concierge ne semblait maîtriser ni la lecture, ni l’écriture. La ville est déserte également. Tout va bien, il faut maintenant réunir tous les papiers pour passer la frontière russe.
Et le mot de la fin pour Odile qui nous transmet ces infos : "La communication commence à être difficile, les infos qu’il a essayé de me transmettre dans la journée sont toujours en cours d’envoi."
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