Entre 2001 et 2003, seuls les Laboratoires de Paris, de Lausanne, de Cologne, de Barcelone et de Madrid, mandatés par l’UCI, ont détecté la présence d’EPO dans des échantillons qui leur avaient été confiés pour analyse. Durant cette période, le premier a effectué trois analyses positives à l’EPO, le deuxième 18 et les trois derniers une chacun. Aucun des échantillons en cause n’avait été prélevé lors du Tour de Suisse 2001.
Le Comité International Olympique a reçu copie de tous les rapports d’analyse positifs mentionnés ci-dessus. Par ailleurs, en 2001, tous les rapports des analyses effectuées sur le Tour de Suisse ont été envoyés à Swiss Olympic.
Depuis le 1er janvier 2004, l’Agence Mondiale Antidopage (AMA) reçoit une copie des rapports d’analyse indiquant un résultat anormal. L’AMA n’a pas relevé de cas d’analyse anormale en provenance d’un laboratoire accrédité par elle qui n’aurait pas été dûment traité par l’UCI.
L’UCI réaffirme la transparence totale du processus des contrôles antidopage et rejette totalement toute suspicion quant à d’éventuels résultats soustraits à la connaissance des acteurs impliqués dans le domaine.
Source : Julien Stauffer, Service de Presse UCI
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